"Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé." Charles de Gaulle.

jeudi 28 avril 2016

Il y a 47 ans, le général de Gaulle quittait le pouvoir.

Il y a 47 ans, le général de Gaulle quittait le pouvoir
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Nous sommes le 28 avril, il y a 47 ans, le général de Gaulle quittait le pouvoir après avoir consulté le peuple français par référendum. Au nom de la conception exigeante qu'il avait de la République et de la démocratie, de Gaulle ne pouvait pas continuer de gouverner sans la confiance du peuple.
Cette exigence est celle de Debout la France. Au-delà des postures politiques et médiatiques des uns et des autres, le coeur de notre engagement est la défense du peuple français, de sa capacité à choisir son destin.
Nous devons continuer le combat pour la France et pour la liberté des Français. Notre mouvement, Debout la France est à la croisée des chemins. Depuis 2012, grâce à l'effort de tous, nous sommes le 6ème mouvement politique de France. Nous sommes désormais crédités de 8% pour la prochaine élection présidentielle.
Nous devons persévérer pour cette "certaine idée de la France" que nous défendons. Partout sur le terrain, dans toutes les villes, dans tous les départements, dans toutes les régions, faîtes vivre notre mouvement et portez l'espérance française que nous incarnons.
Eric Anceau
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dimanche 24 avril 2016

CEREMONIE PATRIOTIQUE A PONT-A-MOUSSON.

Hommage solennel aux victimes et héros de la déportation dans les camps de concentration nazis à Pont-à-Mousson au Monument aux Morts Place Foch : Jean-Luc MANOURY et Nathalie REPUSSEAU présents à cette cérémonie. Un vin d'honneur clôturera cette cérémonie dans le grand salon de l'hôtel de ville.





JAMET LE DIMANCHE !


Dimanche 24 avr 2016

Jamet le dimanche ! - Si jeune et déjà si ingrat !

Jamet le dimanche !
Dimanche 24 avril
SI JEUNE ET DÉJÀ SI INGRAT !
 
Dans je ne sais plus  quel vaudeville de Feydeau, un des personnages apostrophe sur un ton admiratif l’interlocuteur qu’il cherche à lourdement flagorner : « Si jeune et déjà fils de préfet ! » Dira-t-on bientôt d’Emmanuel Macron : « Si jeune et déjà ancien ministre ? » En attendant, François Hollande joue de la mandoline sous le balcon de l’infidèle et soupire : « Si jeune et déjà si ingrat ! ». Et de rappeler doucement à celui qui fut son protégé l’obéissance et la reconnaissance qu’il lui doit. 
Une telle candeur – à moins qu’elle soit feinte – étonne, venant d’un aussi vieux routier de la vie politique. Homme d’appareil, de couloirs, de coulisses, de cuisine et de synthèses, le président de la République aurait-il oublié que dans les marigots du pouvoir, jeunes et vieux crocodiles sont plus souvent mus par l’ambition et l’intérêt que par la gratitude et la loyauté ?
Du coup, c’est le cadet qui fait la leçon à son aîné et se permet de lui rappeler que s’il a été nommé au secrétariat général (adjoint) de la présidence, puis promu au ministère de l’Economie, ce n’était à sa connaissance ni pour ses beaux yeux ni pour sa jolie tournure mais en raison de sa compétence, de son intelligence, de son savoir-faire, que dans l’affaire il est permis de se demander lequel des deux partenaires apportait le plus à l’autre, et qu’il n’est en définitive l’obligé de personne.
Tu quoque mi fili, et toi aussi mon fils ! gémit le premier. Mais tu n’es pas mon père,  bien que tu en aies l’âge, réplique le second. Qui t’a fait duc ? reprend le sexagénaire. C’est peut-être toi, rétorque l’insolent, mais c’est du temps où tu étais encore roi.
Qu’on ne s’y trompe pas. Comme en leur temps Laurent Fabius ou Alain Juppé, comme aujourd’hui un Bruno Le Maire ou un Laurent Wauquiez, Emmanuel Macron est de de ces brillants sujets que le hasard d’un parcours et d’une carrière a amenés dans un camp, rattachés à une écurie, coiffés d’une toque et d’une casaque rose ou bleue,  mais qui n’ont pour colonne vertébrale que leur ambition, et qui ne sont structurés que par l’ardent désir d’arriver le plus vite possible au sommet, peu importe par quelle face de la montagne. Ce jeune homme pressé a un appétit d’ogre, qu’il lui faut satisfaire coûte que coûte. L’avaleur n’attend pas le nombre des années.
Appelé à ses hautes fonctions par un président « de gauche », membre d’un gouvernement « de gauche »,  associé depuis quatre ans à une politique économique et financière « de gauche » mais confronté à la réalité d’un pays qui se droitise, d’une gauche qui part en lambeaux et d’un pouvoir tombé en quenouille, Emmanuel Macron ne craint pas de dire qu’à ses yeux les vieux clivages sont désormais périmés et que le mouvement qu’il vient de fonder les ignorera également et superbement. L’histoire de ces dernières années a été jalonnée de  grandes ascensions qui commencent par de grandes trahisons  au point que certains, se référant aux illustres exemples donnés par Jacques Chirac, Edouard Balladur ou Nicolas Sarkozy, finiraient par y voir une sorte de passage obligé pour le futur élu de la nation.
Nous avons tous connu un jour ou l’autre, sur les bancs de l’école, un chahuteur infernal qui faisait la joie de ses camarades et se rendait populaire en multipliant les pitreries et en lançant des boulettes de papier imbibées d’encre sur le professeur qui écrivait au tableau. Quand le maître se retournait, le coupable avait déjà les bras croisés et la mine innocente du bon élève. Enfin coincé et conduit dans le bureau du principal, il s’excusait platement, promettait de s’amender et récidivait aussitôt.
Ainsi procède depuis quelques semaines Emmanuel Macron. Ministre en activité, il lance à un an de la présidentielle un mouvement, met en place une équipe, invite ses premiers adhérents à porter la bonne parole à travers la France, annonce qu’il va mettre au point dans les meilleurs délais un programme présidentiel, qu’il ne se satisfait pas de la gauche telle qu’elle est, déclare aux dernières nouvelles qu’il n’attendra pas 2017 pour agir, mais ne voit vraiment pas pourquoi il quitterait le gouvernement et cesserait de provoquer le Premier ministre, de narguer ses collègues et de ridiculiser le chef de l’Etat.
M. Macron prend ses distances avec une majorité impopulaire et un président discrédité. Ce faisant, il affaiblit encore l’une et l’autre.
Il est à coup sûr douloureux pour François Hollande de reconnaître qu’il s’est trompé à ce point sur le petit prodige qui était encore récemment son chouchou. On comprend qu’il ait du mal à se séparer d’un ministre populaire, - l’espèce ne court pas les rues. Mais peut-il tolérer les insolences, les incartades, les défis et les écarts d’Emmanuel Macron sans y perdre le peu d’autorité qui lui reste ? On n’imagine pas que César, s’il avait soupçonné ses projets, eût accordé le port d’armes à Brutus.
Dominique Jamet
Vice-Président de Debout la France

DES MIGRANTS A MIRECOURT !



DES MIGRANTS A  MIRECOURT !

Dans la nuit du 20 au 21 avril 2016, des migrants sont arrivés en catimini dans la ville de 5 600 habitants de  Mirecourt dans les Vosges, sans que le maire UDI-LR de cette commune juge utile de prévenir et de consulter ses administrés, qui ont appris cette venue par la presse quotidienne régionale.
Jean-Luc MANOURY, tête de liste de DLF 54 pour les élections régionales s’était rendu en compagnie de Laurent JACOBELLI le 1er décembre 2015 pour soutenir le maire de Péxonne dans le canton de Baccarat, opposé avec son conseil municipal à la venue de 40 migrants dans son petit village. 
Mobilisation des uns et des autres qui s’est avérée  payante puisque  ce projet de centre d’hébergement a été abandonné début 2016 par monsieur le préfet de Meurthe-et-Moselle.
C’est donc tout naturellement qu’en compagnie de Nathalie REPUSSEAU,  il a tenu à participer à la rencontre publique initiée par  Laurent JACOBELLI dans une salle du café «  le  commerce »  le samedi 23 avril à Mirecourt.
Les habitants de cette ville vosgienne au moment où l’accès au logement social est de plus en plus difficile, ont le droit de se demander légitimement si la France a les moyens d’accueillir et d’assimiler de nouvelles populations et si l’argent public ne doit pas être mieux utilisé.
Echanges fructueux avec des Mirecurtiens qui ont  permis à Laurent JACOBELLI, Secrétaire Départemental des Vosges et à son adjoint  Pierre-Jean ROBINOT d’avoir un nouvel adhérent dans ce canton.










dimanche 17 avril 2016

Jamet le dimanche !


Dimanche 17 avr 2016

Jamet le dimanche ! - La grande vacance

Jamet le dimanche !
LA GRANDE VACANCE
Dominique Jamet, vice-président de Debout la France depuis 2012 mais également journaliste depuis... toujours tient chaque semaine sur le site de Debout la France une chronique où il commente très librement l'actualité politique.
Nous l’avait-on assez dit, nous l’avait-on assez seriné… Annoncée à son de trompe comme l’événement de l’année, méticuleusement préparée par ses organisateurs et par leur invité dans une très étroite collaboration, ce devait être l’émission de la dernière chance, l’ultime occasion pour le président de la République en fonction, faute d’avoir réussi à inverser la courbe du chômage, de redresser celle de sa popularité.
De fait, jeudi dernier, François Hollande a eu tout loisir d’exposer et de détailler le bilan de ses quatre années, de présenter et de préciser ses intentions pour la suite et la fin de son quinquennat, de défendre sa personne et sa politique. Il a posé un diagnostic : « la France va mieux », annoncé son programme : « réformer, encore réformer, jusqu’à la dernière minute », promis qu’il ne changerait ni de cap ni de gouvernement ni de méthode ni d’ailleurs de rien d’ici 2017.
L’ennui, pour lui, c’est que les Français ont le sentiment, solidement étayé, hélas, sur la réalité, que M. Hollande, comme son prédécesseur, a mis et laissera la France dans un état pire qu’il l’a trouvée. L’ennui, c’est qu’il ne suffit pas de bricoler dans la hâte et sous la pression n’importe quelle accumulation de mesures incohérentes ou insignifiantes pour qu’elles méritent le nom de « réforme ». L’ennui est que l’opinion finit toujours par percer à jour ce que cache le mot magique, tantôt potion amère, tantôt sirop démagogique, tantôt vide sidéral. L’ennui est que les quatre intervenants sélectionnés pour dialoguer avec le président, en dépit de la modération et de la courtoisie dont tous les quatre ont fait preuve, n’ont visiblement pas été convaincus par leur interlocuteur.
Pas plus que les quelque trois millions de citoyens-téléspectateurs qui, sans trop y croire, avaient choisi de se brancher sur France 2. Et il ne s’agit pas ici d’une impression mais d’une impressionnante donnée chiffrée. Menée pour partie du 7 au 9 avril, avant le « Dialogue citoyens » du 14, pour partie les 15 et 16 avril, après l’émission, la traditionnelle enquête d’opinion mensuelle de l’IFOP pour le Journal du dimanche nous apprend que d’une semaine sur l’autre le pourcentage des Français satisfaits de M. Hollande était passé de 15%... à 12%. Comme quoi on peut choisir, en vieux renard de la politique politicienne, de parler pour ne rien dire et en payer néanmoins le prix. Les Français ne se sont laissés ni bercer ni berner par le flux de banalités autosatisfaites sorties de la bouche présidentielle. Sous le miel lénifiant du discours, ils ont senti et n’ont pas goûté l’imposture.
Dès le lendemain, un nouvel incident de parcours mettait en pleine lumière la pétaudière qu’est devenu l’exécutif. A peine le Premier ministre, cherchant à caresser la jeunesse dans le sens du poil, avait-il annoncé la surtaxation des CDD, le président, soucieux de ne pas déchaîner l’ire patronale, se hâtait de faire savoir qu’il n’en serait rien. Ni l’un ni l’autre, bien entendu, n’y gagnaient l’estime et l’appui de ceux qu’ils prétendaient séduire. Ainsi va le paquebot France, sous la direction d’un équipage qui  navigue à la godille et fait des ronds dans l’eau.
Que reste-t-il de ce qui devait être la réforme historique du droit du travail ? Un méchant petit bout de loi que le gouvernement et la malheureuse Myriam El Khomri vont traîner encore des semaines comme un boulet, et c’est à quoi va se réduire d’ici l’Euro de football et l’été l’activité gouvernementale. Après quoi il ne sera plus question, à supposer qu’il n’ait pas déjà été en filigrane de l’émission de jeudi dernier, que du seul sujet auquel s’intéresse le président : l’élection présidentielle de 2017.
François Hollande se fait-il encore des illusions ? Il ne fait plus illusion. Comment un président non seulement récusé par ses adversaires mais massivement désavoué par son propre camp, et pour la première fois virtuellement battu même par Marine Le Pen, peut-il encore envisager, à défaut d’être réélu, d’être même candidat ? Voudrait-il « réformer », où trouverait-il l’énergie, l’autorité et la majorité pour le faire ? La grande vacance du pouvoir a commencé. Nous allons vivre une année perdue. Une de plus.
On connaît la méchante blague de Winston Churchill sur son vieil adversaire travailliste : « Un taxi vide s’arrête. Clement Attlee en descend. » La chaise de la France est vide, et c’est M. Hollande qui l’occupe.
Dominique Jamet

lundi 11 avril 2016

RESEAU DE CHALEUR BIOGAZ à PONT-A-MOUSSON : POSE DU 1ER TUYAU LE LUNDI 11 AVRIL 2016





Le 27 mai 2014, Jean-Luc MANOURY, lors d’un Conseil Municipal à Pont-à-Mousson, avait approuvé avec son groupe, le principe d’une délégation de service public en vue de créer un réseau de chaleur urbain destiné à desservir majoritairement un ensemble d’équipements publics. Ce réseau de chaleur sera alimenté par une unité de production de chaleur à base d’une cogénération et de chaudière Biogaz qui provient de la fermentation des ordures ménagères du site de stockage de LESMENILS. Notre groupe au Conseil Municipal avait accepté cette délégation de services publics pour la production, le transport et la distribution à la seule condition d’avoir la   maîtrise du coût du service pour l’usager avec un objectif de prix à minima inférieur à 5% du prix HT de la chaleur produite par une énergie conventionnelle. C’est donc tout naturellement qu’en compagnie de sa collègue au Conseil Municipal,  Nathalie REPUSSEAU,  il a répondu présent à l’invitation du maire Henry LEMOINE et de Marc CAVAZZANA, conseiller municipal délégué à l’environnement et au développement durable.